• Etre étudiant... on croit que c'est la belle vie, la porte ouverte à tout... mais c'est l'entrée dans la cage aux lions, il faut se confronter au stress et à l'angoisse, la peur de ne pas réussir, se faire rabaisser que ce soit par des professeurs, des directeurs d'école ou même d'autres étudiants... Il faut s'intégrer dans une école et parfois même dans une nouvelle ville. Alors au début on gère et puis petit à petit c'est la descente. On se pose des questions et là on se dit que nos études ne nous conviennent pas alors on change ; ou alors on fait le point et on aime vraiment ce qu'on étudie mais on voit tout en noir, on ne s'en sort plus dans le travail, on dort mal, on s'inquiète et là l'angoisse prend le dessus... Et quand elle est bel et bien présente on se sent au fond du trou. D'extérieur on peut le cacher, faire comme si de rien n'était... mais dans le fond on se sent ruiné, épuisé, vide, on se demande si on est capable de supporter cette pression et qu'on ferait peut être mieux de rentrer tout de suite dans la vie active. Après tout dans cette société où même le diplôme n'est plus garant de rien on se dit que de toute façon on restera toujours sur une sellette...

    Etre étudiant c'est une vie de fou avant même d'être lancé dans la vie active. C'est mettre moral et physique à dure épreuve. C'est du surmenage et de l'épuisement, c'est foncer dans un mur sans savoir si on se le prendra de plein fouet ou s'il nous laissera passer...

     

    erf arf ouch 

     


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  • Le chat ! Quel bel animal, qui fut d'ailleurs vénéré dans l'Egypte Antique. Il avait le symbole de protection qui lui fut également attribué par les marins qui avaient l'habitude d'embarquer des chats sur leurs navires ; il a également eu le rôle d'être satanique encore plus s'il était noir. Cette superstition des chats noirs remonterait au moyen-âge !

    Mais nos beaux minous n'ont rien de satanique au fond de leur cœur. Et la profondeur de leur âme peut être perçue dans leurs si jolis yeux.

    Le chien a le statut de meilleur ami de l'homme car il est beaucoup moins indépendant que le chat. Mais ne les rendons-nous pas nous même aussi dépendants ? Le chat n'a certes pas besoin de l'homme pour survivre et pour se sentir bien dans sa tête n'a pas besoin non plus de tisser des liens tout à fait particuliers avec celui-ci car il reste dans son cœur cette créature sauvage qu'il fut jadis. Toutefois il est tout à fait possible de créer une véritable complicité avec un chat !

    Un chat qui n'a pas côtoyé de chien pendant son enfance est tout aussi capable de se conduire comme lui à ramener les balles, secouer les couvertures ou même encore se promener en laisse sans que ça ne lui pose problème et meme mieux partager des moments avec son propriétaire d'une rareté incroyable. Alors pourquoi pas pendant les ballades ne pas enlever la laisse, laisser le chat entièrement libre comme on pourrait le faire avec un chien ? En effet il faut avoir confiance et avoir développé une certaine complicité... mais dans la vie tout est possible et surprenant. Et ça nous rend fier !

    Une vie de chat c'est être libre, commander au maître à la maison, s'assurer une survie alimentaire et un nid douillet et chaud pour dormir.... mais c'est aussi apprendre à connaître l'homme et développer une certaine complicité avec lui !!

    Faire des clowneries c'est tellement plus drôle quand on peut les partager clown

    ^^ biggrin happy glasses

    Une vie de chat !


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  • les belles lettres

    Le brouillard... un mot vaste qui définit aussi bien le temps que l'état de notre âme si on y réfléchit. Et si on ose pousser peut être même définit-il aussi la configuration d'une journée bien maussade. Pour le chasser il faut que le soleil réussisse à percer ces nuages si bas. Dans l'air, notre cœur, notre tête, les situations du jour.... Le soleil lui aussi définit tellement de choses. A la réflexion tant de mots ont des sens multiples. Voilà comment apprécier le vocable que nous offre notre langue. Laissons nous envahir par ce côté positif qu'a à nous offrir la littérature car nous pouvons jouer avec comme si c'étaient des chiffres, des notes de musiques ou que sais-je encore qui peut ravir tout un chacun. Le pouvoir et le sens d'un terme peuvent nous rendre un sourire perdu, une joie noyée, un bonheur dissimulé, ... Prendre le temps de connaître tous ces sens cachés, retourner un mot comme si c'était un problème de maths à résoudre, une partition à déchiffrer c'est ce qui fait d'un individu une personne riche.

     

    smile


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  • 21 mars 2015.

    La fin d'un tout et le début d'un rien. C'est le résumé de 3 années qui se sont écoulées bon gré mal gré. C'est le point final d'un calvaire et d'un bonheur infini. Vous qui m'avez procuré tout le réconfort nécessaire à la survie et apporté toute la joie primordiale à l'affront de la vie; par votre réunion festive vous marquez aussi la fin de tout ce que vous signifiiez. Vous mettez un point final, tournez la page sur ce qui fut un nous. Ce nous qui continue de m'envahir et me permet d'avancer car il me permet de croire qu'il est toujours là, qu'il existe toujours, enfoui sous le changement qui nous transporte. Ce changement qui nous définit, nous culbute dans cette marée que sont les études et nous perd car nous ne savons plus qui nous sommes alors. Nous nous cherchons chacune, seules, et nous nous perdons toutes. Nous perdons de vu ce qui fut à mes yeux la représentation de l'amitié telle qu'on voudrait qu'elle soit toujours. Telle qu'on voudrait qu'elle soit partout. Et je continue à croire qu'au fond ce nous existe toujours. Mais pour le retrouver il faut que chacune sonde son cœur et réussisse l'exercice le plus difficile qui soit alors dans une  jeune vie d'adulte : celui de se définir. Qui sommes nous pour nous même ? Que sommes nous aux yeux des autres ? Et qu'attendons nous réellement de la vie ?

    A vous, à ce nous qui me raccroche aussi bien à la réalité qu'à mon idéal. Vous qui me manquez. A ce nous qui n'est pas à la manque quoi qu'il puisse paraître. A ce nous qui parait nous faire défaut mais qui me raccroche au monde.

     


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  • Partir de la maison. Voilà ce qu'on appelle un nouveau départ. On s'émancipe de nos parents. C'est enfin la promesse de la liberté. Mais qu'est-ce que la liberté ?

    Peut-on dire que quand on est adulte on est libre ?

    On est libéré du poids de nos familles. Bien malgré moi je pense que de voir tous les jours sa famille c'est pesant. Je ne me suis jamais sentie aussi bien que depuis que je suis partie. Beaucoup d'entre vous ont sans doute ce sentiment. Et c'est paisiblement, avec joie que j'aime à les retrouver. Après tout la famille a quelque chose de rassurant. Quand on se retrouve pour quelques jours c'est avec joie qu'on échange avec eux ce qu'on vit, ce qu'on traverse, tout ce qu'on découvre. Il y a alors un véritable échange là où il n'y en avait pas avant.

    Qu'est-ce que la liberté quand on est entravé par les coûts exorbitants de nos études sans compter tous les frais de la vie courante ? On se sent oppressé par tout cet argent dépensé. Et si jamais on n'était pas sûr de notre choix ? Comment dire alors qu'on s'est trompé ? Que l'on veut faire autre chose et qu'on doit partir ailleurs ? La vie après le lycée est difficile si on commence à parler de tout cela. Se tromper c'est bien, on apprend de nos erreurs après tout. Mais la culpabilité d'avoir demandé aux parents de dépenser l'argent nécessaire est bien réelle. Demander à nouveau de payer des frais d'études qui sont encore plus chères que notre choix précédant c'est un poids à supporter, c'est une épée de Damoclès.

    La liberté c'est aussi découvrir tout cela et se donner les moyens de réaliser nos rêves !! cool

    Liberté où es-tu ?


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